Dans son communiqué, l’Arcom a justifié sa mise en demeure en expliquant que la séquence « était de nature à contrevenir au respect de la dignité de la personne humaine, exigence à laquelle le consentement de la personne ne permet pas de déroger ».
« Alors que cette dernière s’exprimait, des photos de son corps dénudé couvert d’ecchymoses ont été diffusées à l’écran, avec un floutage léger de ses parties intimes. Des questions intrusives quant aux faits dénoncés lui ont été posées. Elle a alors eu de grandes difficultés à s’exprimer, rendant son propos difficilement compréhensible. L’image d’une chroniqueuse et de personnes présentes derrière elle dans le public, apparemment amusées par la situation, a également été diffusée », peut-on lire.